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NAPOLÉON Ier


NAPOLÉON Ier
NAPOLÉON Ier

NAPOLÉON Ier (Napoléon Bonaparte). Premier consul à vie de 1802 à 1804, puis empereur des Français de 1804 à 1815 (Ajaccio, Corse 15 août 1769 – île de Saint-Hélène 5 mai 1821). Il étudia au collège d’Autun, à l’école militaire de Brienne de 1779 à 1784, puis à celle de Paris. Lieutenant en second, il vécut en garnison jusqu’en 1791. Il échoua dans sa tentative de carrière politique dans son île natale et s’installa en France avec sa famille. Il commanda l’artillerie au siège de Toulon, qui s’était livrée aux Britanniques, et contribua à la prise de la ville. En 1794, il fut nommé général de brigade et placé à la tête de l’artillerie à l’armée d’Italie. Ses amitiés pour les jacobins le firent emprisonner pendant un court moment. Il fut appelé par Barras pour réprimer l’insurrection royaliste contre le Directoire le 13 Vendémiaire (5 octobre 1795). Il fut alors nommé commandant en chef de l’armée de l’intérieur. Il fut ensuite promu général en chef de l’armée d’Italie le 2 mars 1796 et épousa, une semaine plus tard, Joséphine Tascher de La Pagerie, veuve du général Alexandre de Beauharnais. Il partit pour la campagne d’Italie contre les forces austro-piémontaises et y révéla son génie militaire dans une série de batailles à plus d’un titre célèbres :

  • Cairo Montenotte (12 avril 1796, en Ligurie, près de Savone, sur la Bormida) : victoire sur les Autrichiens commandés par le baron de Beaulieu ;
  • Millesimo (14 avril 1796, province de Gênes, sur la Bormida) : victoire, avec le général Augereau, sur les Autrichiens et les Sardes ;
  • Dego (15 avril 1796, sur la Bormida) : victoire sur les Autrichiens commandés par le général Wukassovitch ; le combat de Dego constitua le prolongement décisif de la bataille de Millesimo ;
  • Mondovi (22 avril 1796, province de Cuneo) : victoire sur les Piémontais du baron de Colli ;
  • Lodi (10 mai 1796, en Lombardie, sur l’Adda) : victoire sur les Autrichiens du baron de Beaulieu ; c’est lors de cette bataille que Bonaparte fut pour la première fois surnommé « le Petit Caporal » ; Napoléon aurait dit : « Vendémiaire et même Montenotte ne me portèrent pas à me croire un homme supérieur ; ce n’est qu’après Lodi qu’il me vint dans l’idée que je pourrais bien devenir un acteur décisif sur notre scène politique. » ;
  • Castiglione delle Stiviere (5 août 1796, au nord-ouest de Mantoue) : victoire sur les Autrichiens commandés par le général Dagobert Sigmund von Wurmser ; les Autrichiens, venus par le col du Brenner, voulaient tenter de dégager leurs troupes enfermées dans Mantoue ;
  • Roveredo (4 septembre 1796, dans le Tyrol, près de Trente) : victoire sur les Autrichiens commandés par Wurmser et les généraux Wukassovitch et Davidovich ;
  • Bassano del Grappa (8 septembre 1796, en Vénétie, sur la Brenta) : victoire sur les Autrichiens de Wurmser ;
  • Caldiero (12 novembre 1796, en Vénétie) : échec de Bonaparte devant les troupes autrichiennes du baron d’Alvinzy ;
  • Arcole (17 novembre 1796, sur l’Alpone, petit affluent de l’Adige) : victoire, avec Augereau, sur les Autrichiens du baron d’Alvinzy ; Bonaparte paya bravement de sa personne pour enlever le pont d’Arcole ;
  • Rivoli (14 janvier 1797, sur l’Adige, près de Vérone) : victoire sur les Autrichiens commandés par D’Alvinzy ;
  • Anghiari (15 janvier 1797, sur l’Adige) : victoire sur les Autrichiens commandés par le général Provera ;
  • La Favorite (16 janvier 1797, près de Mantoue) : victoire sur les Autrichiens de Provera et de Wurmser, précédant la capitulation de Mantoue dont la garnison se rendit le 3 février ;
  • Tagliamento (16 mars 1797) : victoire sur l’archiduc autrichien Charles de Habsbourg.

Cette foudroyante campagne d’Italie rendit Bonaparte célèbre et c’est avec un certain soulagement que le Directoire vit partir pour l’Égypte ce jeune général devenu quelque peu encombrant. La campagne d’Égypte se traduisit par trois grandes victoires :

  • celle des Pyramides, le 23 juillet 1798, à Embabeh (ou Imbaba), faubourg du Caire, sur la rive gauche du Nil, en face de Boulaq, près des pyramides de Gizeh, sur les Mameluks de Murad Bey ; avant de livrer la bataille, Bonaparte prononça sa fameuse harangue : « Soldats ! Vous êtes venus dans ces contrées pour les arracher à la barbarie, porter la civilisation dans l’Orient, et soustraire cette belle partie du monde au joug de l’Angleterre. Nous allons combattre. Songez que du haut de ces monuments quarante siècles vous contemplent. » ;
  • celle du Mont-Thabor, le 16 avril 1799, près de la ville de Nazareth, sur 20 000 Turcs et Arabes ;
  • celle d’Aboukir, le 25 juillet 1799, à l’extrémité de la presqu’île du même nom, près d’Alexandrie, sur une armée turque de 18 000 janissaires commandée par Mustapha Pacha, débarquée par la flotte anglaise de l’amiral William Sidney-Smith.

Dès son retour en France, Bonaparte, avec l’aide de Sieyès, Talleyrand, Fouché, Murat et de son frère Lucien, fit son coup d’État contre le Directoire, le 18 Brumaire an VIII (9 novembre 1799). Premier consul à côté de Cambacérès et de Lebrun, il ne tarda pas à entrer en guerre contre l’Autriche en Italie. Le 21 mai 1800, il passa le col du Grand-Saint-Bernard et entama cette nouvelle campagne d’Italie. Il vainquit les Autrichiens d’abord à Turbigo, en Lombardie, dans la province de Milan, sur la rive gauche du Tessin, le 31 mai 1800 ; puis ce fut la victoire de Marengo, au Piémont, près d’Alessandria, le 14 juin 1800, sur les troupes du baron Melas. Le 2 août 1802, par « sénatus-consulte » ratifié par un plébiscite, Bonaparte devenait consul à vie. Le 8 mai 1804, le Sénat le proclamait empereur des Français sous le nom de Napoléon Ier et déclarait l’Empire héréditaire et un plébiscite confirmait ces décisions. La guerre reprit avec la formation de la 3e coalition : Grande-Bretagne, Autriche, Russie et royaume des Deux-Siciles. Deux grandes victoires devaient la faire disparaître :

  • Ulm (20 octobre 1805, en Bade-Wurtemberg, sur la rive gauche du Danube) : défaite du feld-maréchal autrichien Schwarzenberg et capitulation du général Mack et de ses 30 000 hommes ;
  • Austerlitz (2 décembre 1805, en Moravie, près de Brno) : défaite de l’armée austro-russe commandée par Alexandre Ier Pavlovitch et François II ; cette bataille, dite des Trois Empereurs, non seulement mit fin à la 3e coalition, mais fit disparaître le Saint-Empire germanique et naître la Confédération du Rhin.

Napoléon plaça son frère Joseph Bonaparte sur le trône de Naples, abandonné par les Bourbons d’Espagne (Ferdinand IV et Marie-Caroline), et fit de son autre frère Louis le roi de Hollande. Une nouvelle campagne contre la Prusse et la Russie devait commencer en 1806. Elle fut illustrée, notamment, par trois grandes batailles :

  • Iéna (14 octobre 1806, en Thuringe, sur la Saale) : éclatante victoire de Napoléon sur les Saxons et les Prussiens, commandés par le général Hohenlohe et le feld-maréchal Mollendorf ; le même jour, le maréchal Davout taillait en pièces, à Auerstedt, les troupes du duc Charles-Guillaume-Ferdinand de Brunswick ; Napoléon s’ouvrit ainsi la route de Berlin qu’il atteignit le 27 octobre ;
  • Eylau (7 et 8 février 1807, en Russie, dans l’ancienne Prusse-Orientale) : victoire de Napoléon sur les Russes du général en chef Bennigsen, des princes Bagration et Barclay de Tolly et sur les Prussiens du général Lestocq ;
  • Friedland (14 juin 1807, dans l’ancienne Prusse-Orientale) : éclatante victoire de Napoléon sur les Russes commandés par Bennigsen et le général Korsakov ; les Russes perdirent 25 000 hommes et eurent vingt-cinq généraux pris, tués ou blessés ; Napoléon aurait pourtant dit : « L’armée n’a pas été si bonne qu’à Iéna. »

L’entrevue de Tilsit avec le tsar Alexandre Ier suivit cette dernière victoire. La Prusse fut dépecée, perdant ce qui devint le grand-duché de Varsovie et le royaume de Westphalie sur le trône duquel Napoléon plaça Jérôme Bonaparte. La politique expansionniste de l’Empereur devait trouver sa continuation dans l’occupation du Portugal en novembre 1807, pour l’obliger à respecter le blocus continental, et dans la guerre d’Espagne. Après l’entrée de Murat à Madrid et la violente répression du soulèvement populaire qui entraîna l’insurrection générale du pays, Napoléon força Charles IV et son fils Ferdinand VII à abdiquer et plaça sur le trône d’Espagne son frère Joseph, Murat devenant à sa place roi de Naples. Après le désastre de Baylen (19 juillet 1808), il dut intervenir en personne dans la guerre et gagna brillamment la bataille de Somosierra, dans la sierra de Guadarrama, le 30 novembre 1808, sur le général Benito San Juan, s’ouvrant ainsi la route de Madrid. Laissant Soult et Ney sur place, il regagna Paris en janvier 1809, juste à temps pour se préparer à livrer six grandes batailles :

  • Abensberg (20 avril 1809, en Bavière, près de Ratisbonne) : victoire sur les Autrichiens, commandés par le général Hiller ;
  • Landshut (21 avril 1809, sur l’Isar) : victoire sur les troupes de l’archiduc Charles (Charles de Habsbourg) commandées par Hiller ;
  • Eckmühl (22 avril 1809, au sud de Ratisbonne) : victoire sur l’archiduc Charles en personne ;
  • Ratisbonne (23 avril 1809, sur le Danube, près de son confluent avec la Regen) : nouvelle victoire sur l’archiduc Charles ; dans cette bataille, Napoléon fut contusionné d’une balle au pied ;
  • Essling (21 et 22 mai 1809, près de Vienne) : bataille sanglante et indécise ayant opposé 45 000 Français à 90 000 Autrichiens commandés par l’archiduc Charles ;
  • Wagram (5 et 6 juillet 1809, au nord-est de Vienne) : victoire éclatante, mais coûteuse, sur les Autrichiens ; cette bataille mit en présence 300 000 hommes et 1 100 pièces de canon.

Ces victoires conduisirent à la paix de Vienne du 14 octobre 1809. Napoléon, après avoir répudié Joséphine, épousa en avril 1810 Marie-Louise de Habsbourg, fille de l’empereur d’Autriche, qui mit au monde un fils proclamé roi de Rome. Après plus de deux ans de paix relative, Napoléon rompit son entente avec Alexandre Ier et entreprit d’envahir la Russie. Sur le Dniepr, à Smolensk, les 17 et 18 août 1812, il vainquit les princes Bagration et Barclay de Tolly. Le 7 septembre 1812, ce fut la sanglante bataille de Borodino, ou de la Moskova, où Bagration, qui y trouva la mort, et Barclay de Tolly, sous les ordres de Koutouzov, furent encore battus. Une semaine plus tard, Napoléon entrait dans Moscou où un gigantesque incendie se déclara dès le lendemain. Napoléon battit en retraite. Apprenant la conspiration du général Mallet, il rentra précipitamment en France, laissant à Murat le commandement de la Grande Armée qui n’en finissait pas d’agoniser sous le double effet du froid et de la guérilla. La guerre devait reprendre en 1813 contre la Prusse, la Russie, l’Autriche et la Suède de Bernadotte, futur Charles XIV. L’Empereur remporta encore de grandes victoires :

  • Lützen (2 mai 1813, en Saxe, au sud-ouest de Leipzig) : victoire sur les Russes du prince de Sayn-Wittgenstein et sur les Prussiens ;
  • Bautzen (20 mai 1813, en Haute-Lusace) : victoire sur les Prussiens et les Russes commandés par le prince de Wittgenstein et Blücher, en présence d’Alexandre Ier ; sir Hudson Lowe, le futur geôlier de Napoléon à Sainte-Hélène, assista à la bataille et put voir pour la première fois, de loin, son futur prisonnier ;
  • Dresde (26 et 27 août 1813, en Saxe, sur l’Elbe) : victoire sur les Russes, les Prussiens et les Autrichiens commandés par Schwarzenberg.

Autrichiens, Prussiens, Russes et Suédois, commandés par Schwarzenberg, le vainquirent à Leipzig du 16 au 19 octobre 1813. La bataille dite « des nations » fut particulièrement meurtrière puisqu’elle fut marquée par la perte de 130 000 hommes (50 000 du côté français, 80 000 du côté des Alliés). Lors de cette bataille furent utilisées des fusées Congreve, du nom de leur inventeur, sir William Congreve, officier d’artillerie britannique. Cette campagne d’Allemagne se termina par une victoire de Napoléon, celle d’Hanau, à l’est de Francfort, les 30 et 31 octobre 1813, sur le prince Karl Philipp von Wrede, feld-maréchal bavarois à la tête de troupes bavaroises, wurtembergeoises et autrichiennes. Malgré cette dernière victoire, l’Empereur ne pouvait plus empêcher le déferlement des Alliés sur la France. La campagne de France illustre sans doute le mieux le génie militaire de Napoléon. Dans les douze batailles suivantes, il sut toujours tirer son épingle du jeu avec des moyens de plus en plus réduits :

  • Saint-Dizier (27 janvier 1814, en Haute-Marne) : victoire sur les Alliés ;
  • Brienne-le-Château (29 janvier 1814, dans l’Aube) : victoire sur les Prussiens et les Russes, commandés par Blücher, qui occupait la ville ; mais Napoléon dut se retirer le 2 février de cet endroit où il avait été élève de 1779 à 1784 ; lors de cette bataille, il eut la vie sauvée par le colonel Gaspard Gourgaud, futur général de division ;
  • La Rothière (1er février 1814, tout près de Brienne) : défaite contre les Prussiens de Blücher, les Russes de Sacken et les Autrichiens de Schwarzenberg ; Napoléon disposait de 32 000 hommes, les Alliés de 106 000 ; les Français perdirent 6 000 hommes (dont 2 400 prisonniers), la perte des Alliés dépassa 8 000 hommes ;
  • Champaubert (10 février 1814, dans la Marne) : victoire sur les Russes, commandés par le général Olsufiev, qui fut fait prisonnier avec son état-major ;
  • Montmirail (11 février 1814, dans la Marne, au sud-ouest d’Épernay) : victoire sur le prince von der Osten-Sacken, feld-maréchal russe ;
  • Château-Thierry (12 février 1814, dans l’Aisne, sur la Marne) : victoire sur le général prussien Yorck, comte de Wartenburg, commandant 18 000 Prussiens et 12 000 Russes ;
  • Vauchamps (14 février 1814, dans la Marne) : victoire sur Blücher ; sans avoir perdu plus de 600 hommes, l’armée française prit quinze pièces de canon, dix drapeaux et mit hors de combat plus de 9 000 hommes, morts, blessés ou faits prisonniers ;
  • Nangis (17 février 1814, en Seine-et-Marne) : victoire sur les Russes ;
  • Montereau-Fault-Yonne (18 février 1814, en Seine-et-Marne, au confluent de l’Yonne et de la Seine) : victoire sur Schwarzenberg ;
  • Craonne (6 et 7 mars 1814, dans l’Aisne, près de Laon) : victoire sur Blücher ;
  • Laon (10 mars 1814) : défaite contre Blücher ; ce dernier disposait de 90 000 hommes, il en perdit 5 000 ;
  • Arcis-sur-Aube (20 et 21 mars 1814, dans l’Aube, près de Troyes) : bataille indécise entre l’Empereur, disposant de 22 000 hommes, et Schwarzenberg, à la tête d’une armée austro-russe de 90 000 hommes ; « J’ai tout fait pour mourir à Arcis. Les boulets n’ont pas voulu de moi. » aurait dit Napoléon.

Ces prodiges militaires ne purent cependant empêcher les Alliés d’entrer dans Paris le 31 mars 1814. Talleyrand obtint du Sénat la déchéance de Napoléon qui abdiqua le 4 avril. On lui laissa son titre d’empereur et on lui donna la souveraineté de l’île d’Elbe assortie d’une rente. Mis au courant de l’existence d’une opposition bonapartiste contre Louis XVIII, Napoléon résolut de gagner la France où il débarqua le 20 mars 1815 et reprit le pouvoir pour Cent-Jours. L’Europe se coalisa aussitôt. Le 16 juin 1815, à Ligny, en Belgique, près de la commune de Sombreffe, il vainquit Blücher. Le maréchal Grouchy, chargé de poursuivre les Prussiens après leur défaite, ne sut pas les empêcher de rejoindre les Anglais de Wellington sur le champ de bataille de Waterloo. Le 18 juin 1815, Napoléon perdait cette ultime et célèbre bataille de Waterloo, dite aussi du Mont-Saint-Jean, qui provoqua sa chute et sa seconde abdication. Il se confia malheureusement à la Grande-Bretagne qui le confina à Sainte-Hélène avec un carré de fidèles. Il vécut cinq années en captivité, en butte à la cruauté du gouverneur Hudson Lowe, représentant d’une nation qui avait tout fait pour l’abattre enfin et empêcher la création d’une Europe unie. Il mourut, officiellement d’un cancer à l’estomac, très probablement d’un lent empoisonnement, le 5 mai 1821. Le retour de sa dépouille en France s’effectua en 1840 ; ce fut tout à l’honneur du roi Louis-Philippe Ier qui fit déposer son cercueil aux Invalides.

Bibliographie : G. Lefebvre, Napoléon, collection Halphen et Sagnac, Peuples et civilisations, tome XIV, Paris.

Iconographie :

  • Bonaparte au pont d'Arcole, tableau de Jean-Antoine Gros, 1797 (musée national du château de Versailles, esquisse au musée du Louvre, Paris) ;
  • Bonaparte à la bataille des Pyramides, tableau de Gros ;
  • Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa, tableau de Gros ;
  • Bonaparte gravissant le mont Saint-Bernard, tableau de David ;
  • Bonaparte, Premier consul, portrait d'Isabey (musée national du château de Versailles) ;
  • Bonaparte franchissant les Alpes, tableau de Paul Delaroche ;
  • Napoléon, portrait de David ;
  • Napoléon, portrait du baron Gérard ;
  • le Couronnement, ou le Sacre, tableau de David ;
  • la Distribution des aigles au Champ de Mars, tableau de David ;
  • Napoléon à la bataille d'Eylau, tableau de Gros (musée du Louvre, Paris) ;
  • Napoléon à Iéna, tableau de Vernet ;
  • le musée national du château de Versailles renferme un grand nombre de tableaux (David, Gros, R. Lefèvre, Rouget, etc.) représentant les grandes victoires et les événements saillants du règne de l'Empereur) ;
  • Statuaire : il faut citer les œuvres de Canova, Seurre, Houdon, Frémiet, Rude, etc.

Media

Mini-série historique sur Napoléon
Yves Simoneau
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